Catégories : Rencontres LIBERTINS candaulistes Femmes rondes Plaisir des yeux Libertins FETICHISMES au pluriel Enema Lavement / Médical
il y a 6 ans
J’ai découvert le premier patient de ma journée à travers l’interphone de son immeuble : une voix grave et chaleureuse, très rassurante. Infirmière à domicile fraîchement diplômée, j’étais toujours un peu nerveuse à l’idée de rencontrer de nouveaux malades, il fallait que je fasse bonne impression dès le début et que je réussisse à les mettre en confiance rapidement.
« Bonjour, c’est Karina, aide-soignante à domicile, je viens pour refaire votre pansement » ai-je annoncé sur un ton professionnel et bienveillant en passant la porte d’entrée.
C’est un homme en peignoir et en béquilles qui m’a accueillie. Charmant et poli, il m’a invitée à m’asseoir sur le canapé auprès de lui pour que je lui mette un nouveau bandage…
J’ai commencé à retirer l’ancien avec douceur.
« Attention, je suis très douillet !» m’a-t-il avertie, tressaillant. « Encore un homme délicat… ai-je pensé en mon fort intérieur, c’est bien ma veine ! » J’ai tiré sur le pansement pour découvrir sa plaie, lui arrachant un petit cri de surprise au passage.
Pendant que je passais un coton imbibé d’alcool sur sa blessure, il gémissait comme un petit garçon. Ah les hommes, c’est parfois les mieux bâtis qui sont les plus sensibles ! En remontant son pied en haut de ma cuisse pour l’empêcher de bouger, son peignoir s’est soulevé, dévoilant un sexe dur et d’un calibre hors-normes.
« Bon, je ne sais pas si c’est le désinfectant qui fait ça, ai-je dit, stupéfaite, mais en tout cas cela vous procure une certaine excitation ! » Il a jeté un œil à son entrejambe. Le constat était sans appel : il bandait comme un taureau.
Il a essayé tant bien que mal de masquer son érection en la recouvrant des pans de son peignoir. Une bosse énorme transparaissait au travers. J’étais gênée, je ne savais plus quelle attitude adopter. D’un côté cet homme séduisant m’attirait, je ne pouvais m’empêcher de jeter des regards discrets vers la silhouette de sa verge gonflée de désir. D’un autre, il fallait que je conserve une attitude professionnelle.
J’ai décidé d’écourter au plus vite cette séance, déstabilisée. Je lui ai rapidement ollé un pansement neuf sur sa plaie nettoyée et ai reposé son pied au sol. Son membre s’est dressé comme un pic et a percé à travers le peignoir mal fermé.
Il a pris ma main et l’a posée sur sa queue. Je mouillais. Trop excitée pour refuser cette invitation, j’ai commencé à le branler d’une main assurée et experte.
« C’est quoi ce que vous me faites ? Une palpation de la verge ? C’est pour un test de dépistage ? » J’ai souri en acquiesçant.
Je devinais son torse musclé et bien dessiné sous son peignoir. Mon sexe bouillonnait, j’avais envie qu’il s’occupe de moi. « Et moi aussi je peux vous dépister ? » Il lisait dans mes pensées. Il s’est rapproché sur le canapé et a entrouvert délicatement ma blouse d’infirmière. Il s’est mis à caresser la pointe de mes petits seins fermes à travers mon soutien-gorge. Je secouais toujours énergiquement sa queue entre mes mains. Il m’a embrassée goulûment en descendant sa main le long de mon ventre. Ma blouse était tombée le long de mes hanches. Arrivé dans ma petite culotte, il s’est exclamé : « Docteur, je crois bien que vous avez de la fièvre ! Vous êtes brûlante… » Il me déshabilla entièrement et me retourna sur son canapé.
Ma chatte était trempée, je sentais ma cyprine couler entre mes cuisses.
« Et maintenant, c’est moi qui vais vous prendre la température ! » Il a d’abord frotté son dard contre ma vulve comme pour tâter le terrain et m’a pénétrée en glissant d’un coup sec dans mon orifice béant. Ce fut à moi de crier de surprise, je n’avais jamais eu l’occasion de coucher avec un homme aussi bien membré auparavant. Il a écarté mes fesses des deux mains pour s’engouffrer au plus profond de moi. Je griffais de mes ongles le canapé.
Tous mes sens étaient en éveil. Je rythmais mes soupirs aux à-coups v i o l ents de ses reins. Ses bourses me fouettaient le cul. « Alors docteur, vous pensez que c’est grave, ce que j’ai ? » Oui, en effet, c’était grave…d’être aussi bien équipé ! Ses va-et-vient étaient de plus en plus rapides, de plus en plus durs. J’étais maintenant obligée de rester bien cambrée, tête collée au coussin, pour lutter contre ses secousses brutales. Je l’entendais grogner de satisfaction. L’homme poli et fragile que j’avais rencontré au début de notre entretien s’était maintenant transformé en bête sauvage avec l’envie irrémédiable de prendre entière possession de mon être. « Déchirez-moi » ai-je imploré, pour l’encourager.
Il me fit subitement basculer sur le canapé et se plaça derrière moi, en cuillère. Il bloquait mes bras et mes jambes pour éviter que je ne puisse lui échapper. Cette position lui permettait de plonger encore plus loin dans ma chatte et de reposer aussi, je supposais, son pied fatigué. Il m’écartait comme si j’étais sa propre poupée en plastique.
Je n’étais plus qu’un trou dans lequel il prenait tout son plaisir.
« J’ai compris pourquoi vous vouliez être infirmière ! Vous aimez ça, en fait, les gros thermomètres » m’a-t-il dit, joueur. Je n’ai pas eu le courage de répliquer, mon corps tout entier convulsait. J’ai fermé les yeux pour essayer de me calmer. Je sentais son odeur : un mélange de sueur et d’un parfum boisé très viril. Il a tourné ma tête vers lui comme pour récupérer mon attention. Il a pénétré vigoureusement ma bouche de sa langue, cherchant à caresser la mienne. Je sentais des flots de salive couler le long de ma gorge. Il a reculé sa bouche et a mordillé mes lèvres. Je cherchais à détourner ma tête mais il la maintenait collée à son visage de sa main.
À ce moment-là, j’étais sienne.
Mon pied me fait vraiment mal, je ne vais plus pouvoir bouger. Montez-moi dessus ! » Je me suis exécutée prestement. Ce n’était plus moi qui dirigeait l’intervention mais lui qui me mettait à sa merci. Accroupie sur sa bite colossale, je m’empalais en essayant d’effectuer les mouvements les plus amples possible. Il maintenait mes cuisses pour m’aider dans mon dur labeur.
Epuisée, je me retournai et lui fit face, à genoux au-dessus de lui. J’étais frémissante, sa bite me paraissait énorme quelque soit la position dans laquelle il me prenait. Il me fit basculer sur son torse et se cramponna à mon cul de ses doigts puissants. Mon anus se dilata naturellement sous la pression. Mes cris étaient de plus en plus forts. Je me sentais partir dans un autre monde. « Alors, l’infirmière va nous faire un malaise ? » me provoquait-il. Je n’en étais pas loin.
Il m’a alors allongée sur le canapé et a relevé mes jambes pour m’embrocher à genoux. Ce pansement a l’air de tenir quelques soient vos mouvements » me suis-je vantée, fièrement. Il souriait. « C’est que vous faites les choses bien ! Ça fait longtemps que vous êtes infirmière ? ». « Je viens tout juste de débuter… » lui avouais-je. « On voit que vous avez eu votre diplôme d’État, vous êtes très compétente ! » Il avait raison, je savais parfaitement comment faire plaisir à un homme. Leurs points faibles et leurs zones les plus érogènes n’avaient plus de secret pour une professionnelle de la santé comme moi.
Ses à-coups qui s’amplifiaient coupèrent le fil de ma pensée. Les muscles de son visage et de son cou se contractaient. Le rythme de sa respiration s’accélérait.
Il allait jouir, je le sentais.
« Et vous avez besoin de prélèvement aussi pour votre bilan, docteur ? »
Je n’ai pas compris à quoi il voulait faire allusion. Il s’est retiré rapidement pour se branler au-dessus de mon ventre. En quelques instants, son foutre a jailli de sa verge en jets abondants. C’était chaud. Agréable. Son sperme coulait le long de mes côtes et sur mon sexe.
C’était donc ça, ses fameux prélèvements. J’ai souri intérieurement. Il râlait de plaisir.
J’ai entendu le bruit caractéristique d’un message arrivant sur mon portable, m’arrachant à la bulle de plaisirs et de fantasmes dans laquellle je m’étais abandonnée.
Je me suis nettoyée et rhabillée avec empressement. J’ai jeté un coup d’œil à montre. Evoilà, j’étais déjà en retard. « Bon, je dois y aller, mon prochain patient est en train de m’attendre. Je vous dis à la semaine prochaine pour changer votre pansement ? ». Je l’ai salué poliment de la main et me suis éclipsée de la pièce. J’étais dans le couloir de son entrée quand j’ai entendu un bruit sourd.
« Aïe, je viens de tomber et de me retordre le pied. Aaaah, je ne peux plus bouger ! ». Ça y est, le voilà redevenu un e n f a n t capricieux et pleurnichard. Je suis retournée dans le salon. Il gisait sur le sol, la tête posée sur son canapé.
« Je crois bien que cette fois-ci, je me suis vraiment cassé le pied ». Il grimaçait en se tenant la cheville. J’ai jeté mon sac et mon manteau dans un coin de la pièce et me suis précipitée pour lui porter secours.
« Montrez-moi ça ! Ça ne doit pas être si grave que ça, je suis sûre que… » Je n’ai pas eu le temps de finir ma phrase, il m’a attrapée par la taille pour me faire chavirer dans ses bras. Il m’embrassa tendrement.
« Je crois que vous m’avez fait vraiment très mal là… » me dit-il entre deux baisers.
Et dire que ce sont mes parents qui voulaient que je devienne infirmière…
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